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25 décembre 2024 3 25 /12 /décembre /2024 14:43

Vous savez l’histoire de Bonnie and Clyde,

Le fameux couple de braqueurs texans.

Il y a beaucoup mieux, ici, en ce moment !

Écoutez le récit de Marine et Méluche…

 

Alors voilà, Marine, l’ordre, a un complice

Ce Mélenchon qui n’aime pas la police,

A eux deux, ils font la bande des fronts

Pour faire sauter la Banque de Macron.

 

Marine et Luche

Mariméluche

 

Ceux qui ont connu Méluche autrefois,

Se souviennent d’un sénateur matois,

Plus occupé des grèves chez Renault,

Que de taper sur Pinault et Arnault.

 

Marine et Luche

Mariméluche

 

Quant à la fille du père du détail,

Elle a tout fait pour mettre sur les rails

Le parti xénophobe de papa,

Le nœud de cravate sur l’émoi coule pas.

 

Marine et Luche

Mariméluche

 

Che des coups bas, marquis-tsar rfiste,

Mélencastro veut se payer Macron

Et Kriegs-Marine, émergeant des bas-fonds,

Torpille alors la flottille des centristes.

 

Marine et Luche

Mariméluche

 

Dès lors, les Roméo et Juliette

Des extrêmes s’arment de mitraillettes

Et canardent tous les gouvernements

Pour faire chuter ministres et président.

 

Marine et Luche

Mariméluche

 

C’est à coups d’obstruction et de censures,

De chantage, de menaces et d’injures,

Que le gang M&M s’attaque enfin

A la démocratie acculée dans son coin.

 

Marine et Luche

Mariméluche

 

Ils se préparent pour la lutte finale

Qui consommera leurs noces fatales

La mante et l’araignée, létaux animaux,

Dépèceront tout de la peau à nos os.

 

Marine et Luche

Mariméluche

 

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5 août 2024 1 05 /08 /août /2024 14:35

N’en déplaise aux zélotes

De la Schadenfreude

Les J.O. ravigotent

Les Français cafardeux.

Tous les yeux papillotent

A regarder partout

Les bonheurs sans litote…

À Paris, au mois d’août.

 

Des sites admirables

Des héros courageux

Scénarios incroyables

Échanges chaleureux,

Paris est une fête

Qui chante tout son soûl

La gloire des athlètes…

À Paris, au mois d’août.

 

Ces J.O. de légende

Pourvoyeurs de ferveur

Sont une sarabande

Aux cent mille couleurs,

Et la pluie de médailles

Qui nous fait un bien fou

Éloigne la grisaille…

À Paris, au mois d’août…

 

Des berges de la Seine

Jusqu’aux pavés des Champs

Paris est une scène

Pour Riner et Marchand.

En attendant l’automne

On vivra jusqu’au bout

Cette euphorie championne…

À Paris au mois d’août,

À Paris au mois d’août !

La Schadenfreude (/ˈʃaːdˌfʁɔʏ̯də/)  est une expression allemande signifiant la « joie malsaine » ou la « joie maligne » que l’on éprouve en observant le malheur d’autrui. Zélote : personne animée d’un zèle fanatique.

 

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10 juillet 2024 3 10 /07 /juillet /2024 11:02

Et maintenant, que vais-je faire 

De ce pays, en pleine chienlit,

Du parlement, qui m’exaspère,

Maintenant, que je l’ai détruit ?

 

Tous ces partis, qui m’ont pourri

Mon macronnat, poussé aux abois.

Si je pouvais, tout confiner

Tout serait vide, Covid.

 

Et maintenant, vais-je me taire

A l’Élysée ou à LCI ?

Il reste encore trois ans à faire,

J’en ai assez des cérémonies.

 

Vous les ministres et les élus,

Débrouillez-vous dans ce beau pétrin,

Entre Chenu et Delogu

Tous ces festins sans fin.

 

Qu’à Matignon, Olivier Faure

Se dépatouille avec Mélenchon !

Nous verrons bien ces mirliflores

Promptement, nous nous Maquerons !

 

Et maintenant, que ces trois tiers

Votent des lois, sans 49-3,

Je verrai bien s’ils sont si fiers

A l’heure des vetos.

 

J’en ai plus rien, plus rien à faire

Tout ça n’me fait plus rien…

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27 juin 2024 4 27 /06 /juin /2024 12:35

Après le tsunami de la dissolution,

Les héritiers du Front sont tous entrés en transe,

Griffonnant à la hâte cinq ou dix solutions,

Comme un effet d’aubaine pour ravir la France,

Différant la rançon après les élections,

Quand se dissipera l’effet de l’illusion.

 

Jordan Bardella,

Qu’est-ce qu’on a fait pour avoir ça ?

Tomber de Le Pen en Scylla,

Déchoir aussi bas.

Jordan Bardella,

C’est un pantin que ce gars-là

Dont les fils tirés et la voix

Ne font pas débat.

 

Le pays atterré par la déflagration,

Qui s’apprête à fêter les Olympiques,

N’a plus guère la tête à ces célébrations,

Place de la Concorde, ironie bien cynique,

Sous l’œil médusé des amis étrangers

Venus boire à Paris des vers de liberté.

 

Jordan Bardella,

C’est Marine qui t’a mis là,

Elle veut être chef d’Etat,

La fille à papa.

Ça va barder là,

Pour ceux qui pensent pas comme toi,

Ceux qui préfèrent les débats

A la marche de l’oie.

 

Point de Révolution ni d’une Occupation,

Nous avons maltraité notre démocratie,

Et dans l’inconséquence des procrastinations,

Nous avons négligé les signes d’embolie.

Un certain Jean-Marie doit jubiler

De sa moisson tardive en plein cœur de juillet.

 

Jordan Bardella,

Comment le pays de Degas

Peut-il montrer ce tableau-là ?

Personne n’y croit.

Jordan Bardella

Qu’est-ce qu’on a fait pour avoir ça ?

Tomber de Charybde en Scylla

Et voir les dégâts.

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18 mars 2024 1 18 /03 /mars /2024 18:11

Elle a construit Versailles et détruit la Bastille,

Des rois carolingiens, jusqu’au bonnet phrygien,

Des plus grands couturiers, aux Gavroches en guenille,

Un constant paradoxe, ce pays cartésien,

Ma France.

 

Trop souvent prétentieuse et s’accusant toujours,

Elle donne des leçons, tout en se flagellant,

Un pays de querelles tout autant que d’amour,

Elle est rarement là où le monde l’attend,

La France.

 

La patrie des Lumières s’éteignant en Terreur,

La Saint Barthélémy tuant la Renaissance,

Et face aux collabos, un vent de Résistance,

Des Voltaire et Zola ont sauvé son honneur,

Urgence.

 

En un plan dialectique on dit tout, le contraire,

En deux personnes ici, trois avis différents,

On se battait en duel au moindre différend,

Et les grèves aux boulevards sont un sport populaire,

En France.

 

De la gauche à la droite, elle louvoie souvent,

Car elle aime surtout le ton des polémiques,

Et son air préféré est souvent sarcastique,

Elle fuit les compromis comme un geste infâmant,

Errance.

 

Hugo à Guernesey défiant l’Empereur,

Après Chateaubriand contre Napoléon,

Sartre contre Malraux, tribunaux d’Aragon,

Nos grands intellectuels et leurs risques d’erreurs,

D’outrance.

 

Elle surprend souvent, venant de nulle part,

Et nous déçoit ensuite par trop de suffisance,

En sport ou dans l’histoire elle sait sa transcendance,

Pays insaisissable et forcément à part,

La France.

 

Elle est horripilante comme une amie fidèle,

Et combien attachante avec tous ses défauts,

C’est le pays vanté pour ses bas et ses hauts,

Où le coq s’envole par ses excès de zèle,

Ma France.

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30 juin 2023 5 30 /06 /juin /2023 17:23

Les jolis écolos de la France

Merci Marine, merci Sandrine

Tous les jours, ils montent dans l’outrance

You kaïdi aïdi aïda

 

Au bord de l’eau, on a les boules,

Hurmic n’aime pas les arbres morts,

Et Noël n’est pour ces butors

Qu’un jour sans foie gras pour la foule.

 

Léonore s’attaque aux rêves

Des petits princes et des avions,

L’autre veut que nous rationnions

A quatre envols où on s’élève.

 

Les folies écolos de la France

Merci Jadot, merci Rousseau

Tous les jours, ils entrent en dissidence

You kaïdi aïdi aïda

 

Doucet n’aime pas le Tour de France

Pour lui « machiste et polluant »,

Paradoxe d’un dirigeant

Qui veut qu’on pédale en cadence.

 

Ces écolos anti-voitures

S’opposent aussi avec entrain

Au nouveau tunnel transalpin

Pour sauver leur agriculture

 

Les roulis écolos de la France

Merci Duflot, merci Batho

Tous les jours ils tombent en décroissance

You kaïdi aïdi aïda

 

Sandrine juge la grillade

Symbole de virilité,

Taxe de masculinité

Toxique le pot bu au Stade.

 

Drôle aussi que la protectrice

De la condition animale

Fasse souvent la chasse aux mâles,

C’est Kali l’exterminatrice.

 

Les saillies écolos de la France

Merci Voynet, merci Cochet

Tous les jours ils prônent l’abstinence

You kaïdi aïdi aïda

 

Le maire Piolle en son antienne

Persévère dans le déni

En préférant le burkini

Aux fêtes religieuses anciennes.

 

Lesdits amoureux de la terre

Refusent aux vaches leurs pets

Aux paysans de vivre en paix

Tous ces bobos devraient se taire.

 

Les scories écolos de la France

Merci Éric et Aymeric

Tous les jours ils partent en déshérence

You kaïdi aïdi aïda

 

Le réchauffement climatique

Mérite mieux que ces pantins

Qui à force de baratin

Dégoûtent l’opinion publique.

 

L’avenir de cette planète

Est un enjeu trop important

Pour être un jeu de militants

Aux bonnets verts dessus leurs têtes.

 

L’avenir écolo de la France

C’est du boulot pas du Hulot

A l’instant, il faut que l’on s’y lance

You kaïdi aïdi aïda

« Les Joly écolos de la France » : texte écrit par Bernard MARTIAL, le 29 juin 2023, à partir de la chanson « Les jolis colonies de vacances », écrite par Pierre Perret (paroles, musique et interprétation) en 1966 (album Le Monde de Pierre Perret).

Adaptation musicale et interprétation : Jean-Marie Quesnel. Mille mercis à lui !

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24 janvier 2021 7 24 /01 /janvier /2021 17:57

Le Covid qui ne cesse de harceler

Comme un chien de berger entraîné à japper,

Nous dirige vers la falaise,

Où, de M. Panurge, les grégaires moutons,

Avec célérité, ont fait le grand plongeon

Pour s’y noyer tout à leur aise.

 

Au premier temps du mal, la Ministre Buzyn

Assurait les Français que tout allait très bien,

Grâce au syndrome Tchernobyl,

Cette ligne Maginot qui, en sécurité,

Maintenait le pays en parfaite santé,

Paris était gagné facile.

 

On plaisantait tell’ment du pangolin chinois

Qu’on ne vit s’immiscer le virus matois,

Mais par un tour de casuistique,

L’Etat nous dit comment se passer de ce dont

On ne disposait pas pour couvrir nos mentons,

De ces masques prophylactiques.

 

Tous ceux qui, peu avant, avaient mis la santé

Sous d’amères restrictions de comptabilité,

Dénoncèrent l’impéritie

De ce gouvernement de facto empêtré

Dans ce vrai dénuement longuement orchestré,

Ils débitèrent leurs arguties.

 

Puis, quand on eut enfin les masques à profusion,

Des citoyens choqués par l’impréparation

Négligèrent la discipline,

Et nos esprits rebelles, hérauts de liberté,

Renversèrent les barrières et les gestes cités,

Ainsi font les foules mutines.

 

Dans la vaste agora de ces chaînes infos

La part de vérité se dilue dans le faux

Par ultracrépidarianisme,

Car l’opinion triomphe sur le temps du savoir,

Et tous ces bateleurs grisés par les parloirs

Excipent de leur narcissisme.

 

Les cohortes d’experts et les vrais Diafoirus

Se mêlent aux politiques pour parler du virus

En surenchères démagogiques,

Qu’importe le Covid, il faut soigner Macron,

S’ils étaient au pouvoir, ça tournerait plus rond

Les seuls sauveurs sont pléthoriques.

 

Le grand bazar des tests fut tout aussi brouillon,

Dans la folle impatience du dur écouvillon,

Et les demandes anarchiques,

Mais quand un monophobe bannit l’application

De TousAntiCovid au nom de convictions,

On se perd dans cet alogique.

 

Quand Philippe ou Castex voulaient nous confiner

Des esprits avisés se croyaient dominés,

En dénonçant le sacrifice,

Mais que l’Etat retarde toutes les restrictions

De nouveaux procureurs parlent de démission

Et en appellent à la justice.

 

Le coronavirus obligeant à fermer

Commerces et théâtres, les patrons déprimés

Implorent une urgente reprise,

Et tous les contempteurs, à l’affût de leurs voix

Soufflent sur leur détresse pour abattre le roi,

Le corbeau se repaît des crises.

 

Les vaccino-sceptiques, au pays de Pasteur,

Restent dubitatifs au miracle Pfizer,

Aveuglés par leur complotisme,

Et, au lieu de louer la prompte solution,

Les antivax y voient des manipulations,

Incurable est l’obscurantisme.

 

Mais l’histoire continue dans ses revirements

Car la France vaccine beaucoup trop lentement

Suscitant d’autres polémiques,

Les doses se tarissent malgré les inscriptions

Inévitablement, les accusations

Se tournent vers les politiques.

 

Pauvre France opprimée par ce méchant virus

Pays bien incapable du moindre consensus

Tu t’époumones en divergences,

Si on triomphe, un jour, de l’insidieux poison,

Espérons qu’il retrouve sa première raison

Seule caution de tolérance.

 

Si on triomphe, un jour, du vénéneux poison

Espérons qu’on retrouve nos plus belles saisons

Métaphores de l’espérance.

 

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24 janvier 2021 7 24 /01 /janvier /2021 17:50

Chant de Noël

 

Mon beau vaccin, tant espéré

Qu’on attend ta piqûre !

Quand le virus nous a serrés

On a tous été sidérés

Mon beau vaccin, accéléré,

Tu seras notre armure.

 

Toi que Pfizer porta chez nous

Pour battre l’adversaire !

Précieux vaccin, comme ils sont fous,

Tous ces espoirs contre le joug !

Tous les labos, malgré le coût

Rallument la lumière.

 

Mon beau vaccin, tu nous promets

De sortir de l’orage

Où le Covid nous a trempés

Et notre vie s’est arrêtée

Mon beau vaccin, si tu pouvais

Réparer les ravages.

 

Samedi 12 décembre 2020

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21 mai 2020 4 21 /05 /mai /2020 09:33

C’est le traitement miracle du Professeur Raoult

Qui a réuni à Marseille le plus grand des raouts

Pour annoncer aux médias qu’avant la fin d’a-oût

Tout sera réglé sans aucun doute.

Le gourou et ses disciples donnent la communion,

Monseigneur Douste Bla-Bla est entré en fusion,

Muselier veut le Nobel, la canonisation

Et gagner la Ligue des Champions,

L’OM est ainsi vengé

Des victoires du PSG,

Il est né le thaumaturge de la Canebière.


Chloroquine, c’est ma copine
Chloroquine, dans ma cuisine

Jaillirent du Corcovado

Ces phrases de Bolsonaro

Qui impose la chloroquine

De Brasilia jusqu’à Rio.

Chloroquine, c’est ma copine

Chloroquine et la médecine

Est une question de cachets

Les ministres de la santé

Chloroquine, nous on s’en fout.

 
Mandetta et Teich ont donc ainsi été virés

Par le coronasceptique enclin à délirer,

A chloroquiner tout le pays à satiété,

En laissant l’Amazonie brûler.

Le fâcheux président qui prend des bains

De foule est atteint

D’un bolsonavirus, fatal aux Brésiliens.

 

Chloroquine, c’est ma copine
Chloroquine dans ma cuisine

Au Nord, Donald, au déjeuner,

Prend le cachet pour s’amuser

Mais à sucer l’ice-chloro-cream

Il met sa santé en danger.

Chloroquine est assassine

Chloroquine comme la Chine

En veut au président obèse,

Adepte des plus folles thèses

Qui se Trump toujours sur tout.

 

Chloroquine, c’est ma cousine

Chloroquine, dans les bassines

Laissons le temps aux médecins

De concevoir le bon vaccin

Et de tester la chloroquine

Sans la laisser aux margoulins.

Chloroquine, la médecine

Ne veut pas de ces combines

Raoult, Trump ou Bolsonaro

On n’a pas besoin de Zorros
Chloroquine, tu les rends fous.

 

Le 19 mai 2020.

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14 mai 2020 4 14 /05 /mai /2020 17:25

Longtemps, longtemps, longtemps

Après que le virus est apparu

Le danger court encore dans les rues

La foule ressort un peu distraite

En ignorant l’avertissement

Les leçons de ce confinement

 

Il suffit d’un moment d’égarement

Et d’une banale sortie

Pour relancer l’épidémie

Rallumer l’incendie

 

Longtemps, longtemps, longtemps

Après que le virus est apparu

Le danger court encore dans les rues

 

D’aucuns se croyant immortels

Se rassemblent en cheptel

Insouciants des gestes barrières

Ils préparent des bières

Le long du Canal Saint-Martin

Sans penser à demain

Mais pendant que ces jeunes blaguent

A bas bruit, renaît la seconde vague.

 

Longtemps, longtemps, longtemps

Après que le virus est apparu

Le danger court encore dans les rues

Leur impatience est ce danger

Qu’on redoutait contaminant

Jeunes et vieux

Patients, soignants

Dans son élan

 

Longtemps, longtemps, longtemps

La la la…

 

17 mai 2020

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